Zone d'identification
Type d'entité
Édifices et sites
Forme autorisée du nom
L’Hôtel Transcontinental / L’Hôtel Continental / Chaussures Pop
Forme(s) parallèle(s) du nom
Forme(s) du nom normalisée(s) selon d'autres conventions
Autre(s) forme(s) du nom
Numéro d'immatriculation des collectivités
Zone de description
Dates d'existence
1920
Historique
Le premier propriétaire de ce lot est A.A. Drouin qui y construit ses écuries. En 1920, Maurice Bénard l'achète puis le revend à sa mère, Marie Quentier, en 1921. C'est elle qui entreprend d'y faire construire l'Hôtel Transcontinental, ouvert en mai 1923 et agrandi en 1926. Elle en conservera la propriété jusqu’en 1935, date à laquelle elle le revendra à sa bru Berthe Foucher, épouse de Maurice.
L'hôtel demeurera la propriété de la famille Bénard jusqu'en 1960, puis sera vendu à Hector Hudon. Celui-ci le revend ensuite à Guiddo Tocci en 1967. Il semble toutefois que le nom ait été changé pour Hôtel Continental dès 1940. Plusieurs gérants se succéderont, mais le plus connu est sans doute Raymond Chevrier, en poste de 1945 à 1955 environ. À cette époque, il offre également le service d’autobus. L'hôtel sera détruit par un incendie le 14 octobre 1972. C'est le groupe Caouette qui rachètera le lot et y fera construire l'édifice actuel.
L’immeuble a connu divers occupants depuis cette époque, mais le « Conti » est toujours vivant dans la mémoire de plusieurs, que ce soit parce qu’ils y ont célébré leurs noces, qu’ils y ont vu leur vedette préférée ou qu’ils y ont dansé jusque tard dans la nuit…
L'hôtel demeurera la propriété de la famille Bénard jusqu'en 1960, puis sera vendu à Hector Hudon. Celui-ci le revend ensuite à Guiddo Tocci en 1967. Il semble toutefois que le nom ait été changé pour Hôtel Continental dès 1940. Plusieurs gérants se succéderont, mais le plus connu est sans doute Raymond Chevrier, en poste de 1945 à 1955 environ. À cette époque, il offre également le service d’autobus. L'hôtel sera détruit par un incendie le 14 octobre 1972. C'est le groupe Caouette qui rachètera le lot et y fera construire l'édifice actuel.
L’immeuble a connu divers occupants depuis cette époque, mais le « Conti » est toujours vivant dans la mémoire de plusieurs, que ce soit parce qu’ils y ont célébré leurs noces, qu’ils y ont vu leur vedette préférée ou qu’ils y ont dansé jusque tard dans la nuit…